C'est désormais chose faite, et comme leurs voisins de Rhône-Alpes, les Auvergnats peuvent savoir à quelle dose ils sont exposés à ces pollutions.
Sans surprise, la majorité des pollutions est concentrée sur l'agglomération de Clermont-Ferrand, avec des zones critiques près de l'aéroport ou sur les grands boulevards.
Des données qui servent à l'aménagement du territoire
Pour Nicolas Bonnet, élu écologiste à la mairie de Clermont-Ferrand, ces informations doivent aider les élus à prendre les bonnes décisions : "Par exemple grâce à ces nouvelles données, on ne construit plus de crèche ou de maison de retraite dans des sources de pollution, que ce soit pollution de l'air ou du bruit. Comme, pour l'instant, on est moins en alerte que Lyon et Grenoble, donc l'idée c'est surtout de revoir l'aménagement."
En Auvergne, 83% de la population est peu exposée à la pollution de l'air et aux nuisances sonores.
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