Selon La Montagne, il aurait usurpé, depuis 2010, l'identité d'un membre de la famille dans laquelle il avait été placé pendant son enfance.
La victime avait reçu ces dernières années de nombreuses contraventions pour des infractions qu'il n'avait pas commises. Son permis lui avait été retiré et il avait perdu son poste de chauffeur à la RATP.
Jugé en son absence
N'ayant pas encore été arrêté, l'usurpateur a été jugé et condamné à 18 mois de prison par le tribunal correctionnel qui a également décerné un mandat d'arrêt à son encontre.
Le casier de la victime a été effacé et le prévenu devra verser 3.000 euros d'amende au titre de préjudice moral.
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