"Même à une semaine on n'arrive pas à se projeter, on s'adapte mais ce n'est vraiment pas simple", confie Isabelle Monteiller qui tient une boutique de chaussures pour enfants dans le centre-ville de Clermont-Ferrand.
Elle a perdu sa clientèle familiale qui avait tendance à venir après la sortie des classes, donc principalement entre 18 et 19 heures. "On voulait une amplitude horaire et de jour plus grande pour éviter que les gens attendent dehors quand il pleut, etc.", confie-t-elle.
Selon elle, il y a moins d'affluence que d'habitude dans les rues et elle s'inquiète pour les prochaines semaines, tandis que le spectre d'un nouveau confinement plane.
Les soldes d'hiver doivent se poursuivre jusqu'au 16 février.